La saga DCEASED de Tom Taylor (également à l’œuvre d’Injustice et Dark Knight of Steel, soit trois univers où les protagonistes DC changent de rôles ou évoluent en marge de la continuité) est constituée de (seulement) trois volumes simples. Deux récits complets se déroulant après le premier opus de la série mère sont aussi disponibles.
Il y a donc deux façons de lire DCEASED :
- Version rapide : uniquement les trois tomes de la série principale, DCEASED, DCEASED 2 et DCEASED 3, soit 66 € au total.
- Version complète : la même mais avec les deux titres annexes, Unkillables et Hope at World’s End (à lire entre DCEASED et DCEASED 2), soit 102 € au total. Sachant que ces deux récits sont plutôt facultatifs (ils enrichissent l’univers et se concentrent sur des personnages secondaires mais n’ont pas trop d’impact sur l’intrigue générale).
En France, Urban Comics a choisi (à l’inverse des États-unis) de mettre les superbes dessins de Francesco Mattina (donc des visages « zombifiés » d’un protagoniste en gros plan) pour les cinq couvertures régulières (et pour les trois variantes du premier volet). Il s’agit initialement uniquement de couvertures variantes du premier DCEASED. A noter qu’il y a eu (toujours aux États-Unis) énormément de couvertures alternatives, reprenant notamment des affiches de films d’horreur iconiques sauce DC.
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Le premier opus a bénéficié de plusieurs couvertures alternatives. D’abord trois répandues et facilement trouvables avec des versions « zombifiés » de Batman, le Joker et Wonder Woman (Superman étant réservé pour la version régulière). Se référer aux liens d’achat en bas de la critique du tome pour les trouver.
Exceptionnellement, Urban Comics avait publié uniquement sur leur stand au festival d’Angoulême en janvier 2020 quatre autres versions de façon très limitée (300 exemplaires par personnage !). Celles-ci sont signées Ben Oliver.
