[Histoire]
Riley est un jeune homme qui tourne des films souvenirs pour des mariages mais aussi des pornos pour arrondir ses fins de mois. Un jour, une de ses caméras reste branchée toute la nuit à sa fenêtre, à filmer les bâtiments et les toits face à son logement. Sur cet enregistrement il voit Bruce Wayne se battre avec Silence.
En comparant ce combat avec des vidéos de Batman, il comprend que les deux hommes ne font qu’un. Il se met alors à faire chanter le milliardaire, qui demandera de l’aide à son fidèle majordome Alfred…
[Critique]
Cette courte histoire (un chapitre) n’est pas très belle graphiquement parlant, faute à un dessin relativement simpliste, ainsi qu’un coloriage très basique, proche d’une bande dessinée jeunesse. Le seul intérêt de La Vie de Riley est un dialogue entre Bruce et Alfred, ce dernier n’arrivant toujours pas trouver la mémoire suite aux événements survenus dans Faux-Semblants, preuve qu’A.J. Lieberman sait où il va. La fin de ce récit est à nouveau un coup de théâtre.
MàJ : Cet épisode prend finalement une autre tournure lorsqu’on arrive à la conclusion de l’arc narratif centré sur Silence (dans la grande saga Hush Returns). En effet, dans Le futur sous toutes ses formes, on retrouve « brièvement » Riley, et Alfred est accusé de meurtre.
[À propos]
Publiée en France dans le magazine Batman #21 (Rupture de Contrat) en août 2006 chez Panini Comics.
Titre original : The Life of Riley
Scénario : A. J. Lieberman
Dessin : Rick Burchett
Encrage : Alvaro Lopez
Couleurs : Guy Major
Traduction : Sophie Viévard
Première publication originale dans Batman : Gotham Knights 67 en septembre 2005